Formations paramédicales : rapport d’activité 2017

Etude et rapport
Offre de soins
publication - visuel générique

L’ARS publie le rapport d’activité des formations paramédicales en Île-de-France pour l’année 2017. Les évolutions mises en évidence en 2016 se confirment dans de nombreux domaines en 2017, notamment pour ce qui concerne la pédagogie par la simulation, l’utilisation des outils numériques, l’engagement dans la démarche qualité et la certification, la mutualisation entre instituts...

À retenir notamment

  • Le taux de remplissage est, pour une grande partie des instituts de formation, supérieur à 90 %.
  • Toutes filières confondues, les variations dans la répartition géographique des élèves et étudiants au sein de la région Île-de-France sont minimes.
  • La simulation et l’utilisation du numérique dans les méthodes pédagogiques est chaque année plus importante.
  • La progression de l’engagement dans la démarche qualité observée en 2016 se confirme en 2017.
  • L’accès à un centre de documentation et à un équipement informatique est quasiment généralisé dans toutes les formations paramédicales.
  • La mutualisation entre instituts de formation s’est encore accentuée en 2017
  • Le nombre de places de stages obtenues apparaît, pour la plupart des formations, comme suffisante au regard des besoins, sauf pour les formations en soins infirmiers, d’infirmières puéricultrices et surtout, d’ambulanciers.
  • Le nombre d’heures consacrées à la formation continue a fortement progressé en 2017 pour les instituts de formation en soins infirmiers, d’aide-soignants et d’auxiliaires de puériculture. Le pourcentage de formateurs titulaires d’un diplôme de cadre de santé reste stable.
  • La répartition des temps d’enseignement pour les formations paramédicales est quasiment identique à celle des années précédentes.
  • Tous métiers confondus, 30% des instituts de formation déclarent avoir réalisé des recherches en 2017, contre 25% en 2016 et 19% en 2015.
  • L’équilibre entre lieu de formation et lieu d’exercice professionnel est globalement maintenu, même si Paris reste un département très attractif pour les jeunes diplômés.
  • Le secteur du premier emploi des jeunes diplômés est, cette année encore, celui des établissements de santé.

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