À retenir notamment
- Le taux de remplissage est, pour une grande partie des instituts de formation, supérieur à 90 %.
- Toutes filières confondues, les variations dans la répartition géographique des élèves et étudiants au sein de la région Île-de-France sont minimes.
- La simulation et l’utilisation du numérique dans les méthodes pédagogiques est chaque année plus importante.
- La progression de l’engagement dans la démarche qualité observée en 2016 se confirme en 2017.
- L’accès à un centre de documentation et à un équipement informatique est quasiment généralisé dans toutes les formations paramédicales.
- La mutualisation entre instituts de formation s’est encore accentuée en 2017
- Le nombre de places de stages obtenues apparaît, pour la plupart des formations, comme suffisante au regard des besoins, sauf pour les formations en soins infirmiers, d’infirmières puéricultrices et surtout, d’ambulanciers.
- Le nombre d’heures consacrées à la formation continue a fortement progressé en 2017 pour les instituts de formation en soins infirmiers, d’aide-soignants et d’auxiliaires de puériculture. Le pourcentage de formateurs titulaires d’un diplôme de cadre de santé reste stable.
- La répartition des temps d’enseignement pour les formations paramédicales est quasiment identique à celle des années précédentes.
- Tous métiers confondus, 30% des instituts de formation déclarent avoir réalisé des recherches en 2017, contre 25% en 2016 et 19% en 2015.
- L’équilibre entre lieu de formation et lieu d’exercice professionnel est globalement maintenu, même si Paris reste un département très attractif pour les jeunes diplômés.
- Le secteur du premier emploi des jeunes diplômés est, cette année encore, celui des établissements de santé.